Arthur Destailleur
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En tant qu’entrepreneur indépendant, vous vous heurtez à énormément d’obstacles qui viennent brider le développement de votre activité. Vous devez porter un grand nombre de casquettes et certaines compétences vous font défaut. C’est tout à fait normal et vous l’avez compris. Dès lors, vous faites le choix judicieux de l’accompagnement professionnel. Dans cet article, je vous propose de comprendre, à travers plusieurs anecdotes concrètes, l’importance de choisir le bon coach. Celui qui saura être en phase avec vous et répondre à vos attentes.
Il y a quelques jours, je regardais un documentaire sur Netflix. (Eh oui, ça m’arrive aussi 😉).
« Losers. » Ils auraient pu le sous-titrer : « Les perdants magnifiques ».
Pourquoi ?
Je vais tout vous expliquer dans une minute…
Ce que j’ai regardé précisément ?
L’épisode qui retrace l’histoire de la patineuse Surya Bonaly : il tout simplement bouleversant. Presque tragique.
Avez-vous souvenir de cette patineuse d’exception ?
Au milieu des années 80, Surya est l’étoile montante du patinage artistique. Elle a un potentiel incroyable. Tellement incroyable que lorsqu’elle arrête sa carrière amateure en 1998, personne ne comprend qu’elle n’ait jamais décroché la médaille d’or olympique.
Comment l’expliquer ?
Retour en 1992.
Suite à un différend avec son entraîneur de l’époque, Surya Bonaly décide de se séparer de lui et choisit… sa mère pour le remplacer. Mauvais choix.
Pourquoi ?
Parce que la mère de Surya n’est pas une professionnelle du patinage. Et de plus les relations mère-fille empiètent beaucoup sur la partie sportive.
Sur la glace, ce qui est souvent reproché à Surya, c’est qu’elle « manque de grâce ».
Elle est pourtant la patineuse la plus athlétique et acrobatique de sa génération. Elle innove sans cesse dans ses prestations.
Elle réalise des figures inédites, des sauts comme le fameux salto arrière, jamais réalisé avant elle. Et qui porte aujourd’hui son nom.
Mais ce n’est pas ce que recherchent les différents jurys qui jugent ses prestations. Ils restent attachés à un certain classicisme.
Et justement. Cette élégance, cette grâce, cette féminité qui lui font défaut aux yeux des juges, son entraîneur lui, veut la pousser à les travailler. Il sait que c’est à ce prix qu’elle pourra décrocher une médaille d’or olympique.
Mais malheureusement, la mère de Surya n’est pas de cet avis. Et c’est donc la rupture avec son entraîneur.
Pour elle, sa fille doit au contraire muscler encore ses prestations. Être encore plus acrobatique. Encore plus athlétique pour contrecarrer la concurrence.
Dans l’absolu le conseil n’est pas mauvais : jouer la carte de l’authenticité. Mais dans le contexte du patinage artistique de l’époque, ça ne passe pas. Les juges la sanctionnent systématiquement. Et Surya échoue (de peu) dans tous les grands rendez-vous olympiques.
Poussée par sa mère/entraîneure, elle s’entête. Et ne décrochera finalement jamais la médaille d’or dont elle rêve.
C’est dommage, n’est-ce pas ?
Mais on ne peut pas réécrire l’histoire…
Et je ne peux pas m’empêcher de me demander ce qui se serait passé si Surya n’avait pas changé d’entraîneur. Si elle avait écouté les conseils de son coach, qui était un professionnel.
Un exemple contraire me vient immédiatement à l’esprit : Thierry Henry et son coach mythique, Arsène Wenger.
Wenger et Titi se croisent pour la première fois à l’AS Monaco, en 1994. Thierry n’a alors que 17 ans, et Wenger lui donne sa chance en équipe première.
Ils se retrouvent en 1999 à Arsenal. C’est là que Wenger va véritablement lancer la carrière de Thierry Henry. Ils travailleront ensemble durant 8 saisons. Émaillée de désaccords et de tensions, la relation de Wenger et son poulain n’est pas un long fleuve tranquille : ils ne sont pas toujours en phase.
Pourtant, c’est sous les ordres de cet entraîneur que Thierry a le plus progressé, et qu’il a connu les meilleures années de sa carrière.
Pourquoi ?
Parce qu’il écoutait son coach.
Même s’il ne comprenait parfois pas ses décisions, Titi finissait toujours par accepter ses conseils et les mettre en pratique. Ça l’a aidé à progresser et à devenir un des meilleurs attaquants français de l’histoire du foot.
Vous savez, ce n’est pas un aveu de faiblesse que de faire appel à un coach.
Surtout pas.
D’ailleurs, je suis convaincu que derrière un sportif d’exception, il y a toujours un grand coach.
C’est normal quand on y réfléchit : le rôle d’un coach, c’est de vous conseiller. De vous guider, de vous accompagner d’un point A vers un point B. De vous aider à vous dépasser.
Le coach peut se le permettre, car il a plus de recul que vous. Plus d’expérience aussi.
Le coach connaît le métier. Il sait ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas pour son poulain. Il connaît ses forces et ses faiblesses et il a la distance nécessaire pour ne pas être impacté par l’émotionnel.
Je suis bien placé pour vous en parler : c’est mon métier. 😉
Bien sûr, je ne coache pas des sportifs : j’accompagne des entrepreneurs. Comme vous.
Je les aide à mettre en place une démarche commerciale. À acquérir des compétences en vente. Et donc à (beaucoup) mieux performer en termes de chiffre d’affaires.
Vous y avez déjà pensé ?
À vous faire coacher, je veux dire…
- Est-ce qu’aujourd’hui vous êtes absolument certain(e) de réaliser votre plein potentiel ?
- Vous sentez-vous parfaitement à l’aise avec la vente ?
- Êtes-vous complètement satisfait(e) de vos revenus actuels ?
Si ce n’est pas le cas, alors je vous invite à prendre rendez-vous avec moi. Si nous venons à travailler ensemble, je vous aiderai à acquérir de nouveaux outils et de nouvelles techniques de ventes et de prospection.
Bénéficiez de mon accompagnement pour les mettre en place. Et vous aider à surmonter vos difficultés quotidiennes.
Tout ça dans le but d’exploser vos objectifs de chiffre d’affaires dans les semaines et mois à venir…
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Vous y découvrirez pourquoi et comment je peux vous aider à briser votre plafond de verre. Pour ne pas passer à côté de la médaille d’or, comme Surya Bonaly.
En attendant, si vous souhaitez en savoir davantage sur les critères à prendre en considération pour choisir votre business coach, vous pouvez consulter cet article.
Alors ? On se met en route pour décrocher des performances ?
Je vous dis à très vite.