Arthur Destailleur
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L’émancipation du freelance sous-entend très souvent de faire face à certains travers. On peut facilement se laisser submerger par le travail de peur de perdre des clients, avoir des difficultés à adopter la bonne posture … Ces pièges sont courants et peut être que vous aussi en avez fait l’expérience. Sachez que vous n’êtes pas seul(e) : je vous propose de découvrir l’histoire de Robert, un de mes clients à qui s’est arrivé et qui a su passer outre.
- Comment devenir vraiment indépendant lorsqu’on se lance ?
- Comment passer du rôle de prestataire à celui (bien plus gratifiant) de partenaire ?
- Comment changer de posture dans la relation commerciale pour une relation véritablement gagnant / gagnant avec ses clients ?
- Comment ne pas tomber dans le syndrome du freelance à qui on demande de travailler n’importe quand, n’importe comment ?
C’est la transformation qu’a vécue Robert il y a tout juste 1 an grâce à mon accompagnement.
Voici son histoire.
TODOUM …! 😉
Elle fera peut-être écho à la votre…
Au tout début de ma collaboration avec Robert, il avait lancé son activité depuis 2 ans.
Des commandes, il en avait régulièrement.
Avec plus de 15 ans de pratique comme Copywriter, il connaissait son métier par cœur. Et sa réputation était déjà bien en place, donc, pas de syndrome de l’imposteur pour lui.
Mais, mais, mais… Il n’était pas heureux dans la relation avec ses clients.
La raison ?
Souvent il était appelé en dernière minute par des clients qui avaient des exigences de délais intenables.
Du genre :
- Être briefé le vendredi après-midi pour un travail à rendre le lundi matin
- Pour des missions peu gratifiantes
- Pour des clients qui trouvaient souvent « que c’était trop cher » et qui tiraient systématiquement les prix vers le bas.
Au final, ces clients-là n’avaient pas de considération pour son travail (ni pour lui). Ils ne percevaient pas (ou trop peu) son apport de valeur. Ils le considéraient un peu comme « la 5e roue du carrosse » si on veut…
Alors pourquoi il en était arrivé là ?
Parce que dans sa tête, Robert n’avait pas encore basculé du statut d’employé à celui d’indépendant. Il faut dire qu’avec 15 ans de salariat, les habitudes étaient bien ancrées…
Il a donc fallu travailler sur son état d’esprit, son « Mindset ».
Et aussi lui montrer qu’il existait une autre façon de contribuer positivement au business de ses clients.
Mais pour cela, il devait impérativement augmenter sa valeur perçue auprès d’eux.
Autrement dit, leur faire comprendre ce qu’ils gagnaient quand ils faisaient appel à lui. La vraie valeur et pas un rabais de 200€ sur une prestation.
Leur montrer qu’il ne s’agissait pas d’une dépense, mais d’un investissement.
Et c’est bien le cas :
Lorsqu’un copywriter est bon (et c’est le cas de Robert), les pages de vente ou les séquences e-mail qu’il rédige pour ses clients leur rapportent facilement plusieurs dizaines de milliers d’euros.
Soit, bien plus que le coût de sa prestation.
Alors,
À quoi aspirait-il quand on s’est rencontrés ?
Pouvoir choisir les clients avec qui il avait vraiment envie de travailler.
Mais cela lui semblait hors de portée, comme une mission impossible. Un « luxe » qu’il ne pouvait pas se payer.
Je lui ai montré qu’il se trompait…
Et surtout, je lui ai montré comment réfléchir à la meilleure façon de construire son apport de valeur auprès de ses clients.
Pour adopter une nouvelle relation plus juste pour lui : une relation d’égal à égal. Et non plus de prestataire à clients, mais de « partenaire de business ».
Et aussi, je lui ai montré comment quitter ce statut de salarié déguisé. Envers qui ses clients avaient pris l’habitude d’avoir les mêmes exigences qu’avec un subalterne…
Et c’est donc là que je l’ai aidé à adopter la meilleure posture pour lui : celle de partenaire.
Ce qui s’est passé pendant mon accompagnement ?
Il a arrêté de chercher des « jobs » et de dire oui à toutes les propositions.
À la place, il s’est focalisé uniquement sur ses points d’excellence. Là où il apportait le plus de valeur à ses clients : c’est à dire, la rédaction d’e-mails et de pages de ventes percutantes.
Car sa spécialité à lui, c’est l’écriture persuasive : le « Copywriting ».
À savoir, la façon d’écrire la plus efficace pour décrocher des ventes.
Et il a cessé de se disperser sur les autres aspects de la rédaction sur lesquels il n’était pas expert.
Comme par exemple, l’écriture de voix off, la rédaction de plaquettes, la recherche de nom de marque, les synopsis vidéos, ou encore la rédaction d’articles de blog.
Et donc ?
Il s’est mis à dire non à pas mal de choses qu’il réalisait auparavant. Ce qui lui a permis de se dégager du temps et de l’énergie pour développer à fond son activité d’entrepreneur.
Et c’est aussi comme cela, qu’il a pu se concentrer sur son vrai cœur de savoir-faire.
Là où il est vraiment excellent.
Il a pu créer et mettre en ligne une formation en copywriting pour celles et ceux qui ont besoin de progresser en écriture persuasive.
Car, vous le savez : dès lors qu’on écrit le moindre mot dans un post, dans une newsletter, ou sur notre site web, on se doit d’être le plus efficace possible.
On parle de « guerre de l’attention » et c’est bien le cas : c’est de plus en plus dur d’être visible au milieu du brouhaha ambiant.
Mais comme tout le monde ne peut pas se payer les services d’un copywriter professionnel : sa formation arrivait à point nommé !
Bref..
La simple vente de cette formation en ligne a généré pour lui plus de 16 000 € de revenus complémentaires en moins d’un an.
Et ce n’est qu’un aspect de son activité puisqu’il continue à rédiger pour ses clients (soigneusement choisis cette fois).
Car, en devenant spécifique, il a commencé à travailler avec les bons clients pour lui. C’est-à-dire, ceux qui sont prêts à le rémunérer à sa juste valeur.
Puisqu’ils savent que grâce à son copywriting, eux-mêmes vont pouvoir réaliser plus de ventes, plus rapidement.
S’il te plaît, donne-moi du travail…
Pour résumer : grâce à mon accompagnement, Robert a réussi à changer de posture.
Il est passé du statut de demandeur qui a l’air de supplier, à celui d’offreur : « ok tu as tel problème, je te propose telle solution ».
Et lorsqu’il voit qu’il ne peut pas répondre favorablement à la demande ?
Il ne cherche plus à se contorsionner pour la satisfaire quand même. À la place, il oriente tout simplement son prospect vers quelqu’un qui sera à même de l’aider.
Voilà pour l’histoire de Robert.
- Et vous est-ce que cela vous inspire ?
- Est-ce que cela fait écho à votre parcours ?
- Peut-être même, à ce que vous vivez actuellement ?
Si c’est le cas, je vous propose de m’en faire part dans les commentaires ci-dessous. Je serai ravi de pouvoir échanger avec vous !
En attendant, si vous souhaitez savoir comment obtenir ses premiers clients lorsque l’on est freelance, c’est ici que ça se passe 🙂
Je vous dis à très vite.