Arthur Destailleur
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Une des premières vertus dont un bon coach doit faire preuve, c’est la connaissance de soi.
Dès lors, il n’est absolument pas paradoxal qu’un coach fasse appel à un autre si le besoin se fait sentir.
Cette notion est en fait l’indicateur d’un coach conscient de ses lacunes mais qui veut les combler en utilisant la solution qu’il sait être la plus efficace.
Je vous raconte cette histoire.
Vous connaissez sans doute l’expression “Les cordonniers sont souvent les plus mal chaussés” ?
Je m’apprête à vous raconter l’histoire peu banale du coach qui avait besoin de se faire coacher…
Mais avant cela, j’aimerais vous parler de Cécile, l’une des clientes qui m’a le plus marqué.
Cécile est coach en reconversion professionnelle. Et c’est d’ailleurs une excellente coach. Elle connaît son métier sur le bout des doigts. Elle accompagne ses clients dans leurs changements de carrière. Elle leur apporte beaucoup de valeur.
Cécile maîtrise très bien son sujet. Elle-même a vécu plusieurs vies professionnelles.
Par contre, pour ce qui est du développement commercial de son activité, c’était un peu plus compliqué pour elle lorsque je l’ai rencontrée.
Pourtant, Cécile n’a jamais eu de blocage, ou de croyances limitantes par rapport à la vente.
Quand elle me demande de l’accompagner et de la coacher, je comprends tout de suite où le bât blesse. Cécile a du mal à valoriser ses services, et à les présenter sous leur meilleur angle.
Et de ce fait, elle n’arrive pas à atteindre ses objectifs commerciaux. Ses clients sont très satisfaits de ses services, mais son chiffre d’affaires lui, ne décolle pas.
Pourquoi ?
Ses tarifs sont beaucoup trop bas. Elle ne vend pas ses services au « juste prix ». Elle n’est pas rétribuée pour la valeur qu’elle crée pour ses clients.
Vous allez me dire : « dans ce cas, c’est très simple. Il suffit d’augmenter ses tarifs ? ».
Oui vous avez raison. Mais en même temps, c’est un peu plus complexe que ça.
Avant d’augmenter ses tarifs, la première étape était de travailler sur sa proposition de valeur. Ensemble, nous avons construit une offre percutante et alléchante pour ses clients.
Nous avons donc choisi un nouvel angle marketing. Beaucoup plus attractif. Ce qui lui a permis de générer de nouveaux prospects.
La deuxième étape était de travailler sur la posture de Cécile face à eux.
Elle ne devait plus se positionner en demandeuse. Voire… en quémandeuse.
Mais en coach affirmée et sûre d’elle.
Dès les premiers contacts, elle doit donc prendre sa pleine posture de coach vis-à-vis de ses prospects. Elle les guide, elle les accompagne pour les aider à prendre la meilleure décision pour eux. Et enfin elle les rassure.
Et dans ce cadre, afin de rester cohérents, nous avons donc travaillé sur l’écriture de nouveaux scripts de prospection.
Les résultats ne se sont pas fait attendre !
D’autant plus que Cécile est plutôt du genre « bonne élève ». Appliquée et consciencieuse elle a exécuté toutes mes recommandations.
En 2 mois, Cécile a multiplié par 10 le nombre de ses demandes entrantes. Et elle a transformé plus de la moitié de ces nouveaux prospects en clients. Tout en ayant augmenté ses tarifs de manière substantielle…
Je vous laisse faire le calcul … 😉
- Et si vous pouviez avoir de tels résultats dans votre business ?
- Si vous aussi, vous réussissiez à multiplier par 10 vos prospects ?
- Vous imaginez ?
- Qu’est-ce que ça représenterait en termes de chiffre d’affaires annuel ?
Eh bien, aujourd’hui, je vous offre à vous aussi l’opportunité d’ouvrir la pompe à prospects… Je vous invite à lire cet article expliquant pourquoi il est pertinent de faire appel à un coach.
En attendant, si vous souhaitez me faire part de vos expériences dans votre développement commercial, je serai heureux de pouvoir répondre à vos commentaires !
À très vite !
PS : J’allais oublier… l’histoire du coach qui avait besoin de se faire coacher ? Vous venez de la lire. C’est l’histoire de Cécile 😉